Répondre aux attentes après une année faste
Cet article offre des conseils précieux pour les investisseurs face à des attentes élevées sur les marchés boursiers après une année fructueuse. Simon Houle collabore!
Cet article offre des conseils précieux pour les investisseurs face à des attentes élevées sur les marchés boursiers après une année fructueuse. Simon Houle collabore!
Une étude de »Global Investment Returns Database » révèle que les actions mondiales, à l’exception des États-Unis, ont surpassé les actions américaines dans cinq des sept dernières décennies. Simon Houle collabore!
L’article examine l’influence des « sept magnifiques » (Microsoft, Apple, Amazon, Nvidia, Tesla, Meta Platforms, Alphabet) sur les indices boursiers et les défis pour les investisseurs en raison de cette concentration. Simon Houle collabore!
Cet article met en lumière une réalité préoccupante : l’impact de la charge de travail et mentale sur la capacité des mères à gérer leurs finances personnelles. Simon Houle collabore!
Ce fut un plaisir pour moi de collaborer avec Emmanuelle Gril et de parler des stratégies visant à optimiser la situation fiscale des couples dont les revenus de retraite diffèrent.
Simon Houle collabore avec Le Devoir.
Il mentionne, entre autres, que les marchés boursiers sont un indicateur précurseur de l’évolution de l’économie.
Simon Houle collabore avec Protégez-vous.
Il mentionne qu’inculquer la notion d’épargne tôt aux enfants, on leur apprend quelque chose d’important : l’argent mis de côté achète la liberté.
Simon Houle collabore avec TVA Nouvelles.
Il mentionne que la mentalité «yolo» d’une partie de la nouvelle génération la placerait dans une position encore moins avantageuse d’un point de vue financier.
Simon Houle collabore avec le Journal de Montréal.
Il mentionne que la jeune génération ne l’a pas facile et vit une anxiété financière plus élevée que d’autres générations.
Simon Houle collabore avec La Presse.
Entre autres, il mentionne que pour épargner, c’est toujours mieux de façon périodique. Si quelqu’un qui attend toujours les 60 premiers jours de l’année pour cotiser au REER, il y a de bonnes chances que rendu là, il ne reste plus d’argent, surtout en contexte d’inflation.