Simon Houle collabore avec Les Affaires.
Entre autres, il mentionne que les marchés boursiers agissent comme indicateur précurseur sur l’économie. « Les marchés ont généralement une avance de six à huit mois sur l’économie. »
Simon Houle collabore avec Les Affaires.
Entre autres, il mentionne que les marchés boursiers agissent comme indicateur précurseur sur l’économie. « Les marchés ont généralement une avance de six à huit mois sur l’économie. »
Simon Houle collabore avec la Revue Sage.
Entre autres, il mentionne l’importance de faire ce que l’on aime à la retraite. Pour bien des gens, c’est le travail qui donne un sens à leur vie. S’ils sont en mesure de continuer à travailler, c’est une bonne chose pour eux.
Simon Houle collabore avec La Presse à un article nommé: Comment trouver un conseiller à 17 ans?
Entre autres, il mentionne l’importance de traiter avec un planificateur financier: « En faisant affaire avec un planificateur financier, tu es sûr d’avoir devant toi quelqu’un qui maîtrise les sept domaines d’intervention en planification financière, donc pas juste l’aspect placement »
Cet article est le cinquième d’une série publiée dans le but de vous aider à comprendre comment votre conseiller vous accompagne tout au long de votre vie dans l’atteinte de vos objectifs personnels et financiers. Dans ce cinquième numéro :
Après avoir accumulé l’information découlant du processus de planification financière ainsi que d’avoir établi votre politique de placement, votre conseiller a maintenant l’information nécessaire pour construire votre portefeuille. Voici de quoi il en découle :
Pour être incluse dans nos portefeuilles, chacune des classes d’actifs doit être accessible sous forme d’un fonds négocié en bourse respectant certains critères de :
Le processus d’optimisation génère l’ensemble des portefeuilles situés sur la frontière efficiente. Les principaux intrants dans le processus d’optimisation sont le rendement anticipé et la volatilité (variance) de chaque classe d’actifs ainsi que leur corrélation.
Le modèle d’optimisation utilise les données historiques de volatilité et de corrélation. On fait ainsi l’hypothèse simplificatrice que ces caractéristiques sont assez stables dans le temps et ne sont pas dépendantes du contexte, économique notamment. On ne peut cependant faire la même hypothèse quant aux rendements anticipés : ils ne peuvent pas être basés seulement sur la moyenne des rendements historiques et doivent refléter nos « vue » sur les rendements futurs. Les obligations canadiennes offrent un bon exemple : on ne peut anticiper que leur rendement des 30 dernières années – dans un contexte de baisse séculaire du niveau de taux d’intérêt – se reproduise au cours des 30 prochaines.
Chacun des portefeuilles sur la frontière efficiente maximise le rendement anticipé pour un niveau de risque (volatilité) donné. C’est sur cette frontière que sont sélectionnés les portefeuilles correspondants aux différents profils de risque des clients.
Nous sélectionnons les classes et sous classes d’actifs pouvant contribuer à la diversification du portefeuille, en tenant compte de leur rendement anticipé, leur risque (variance ou volatilité) ainsi que leur corrélation (covariance). Le processus d’optimisation déterminera leur poids dans le portefeuille en fonction de ces 3 caractéristiques.
Ayant établis votre situation personnelle, fait votre bilan, déterminer vos objectifs financiers, fait votre profil d’investisseur et élaborer votre politique de placement, construire votre portefeuille, le prochain travail constitue à réduire votre facture d’impôt. C’est le sujet de notre prochain article.
Pour recevoir tous les articles de la série « Les 10 travaux de votre conseiller », contactez-nous.
Simon Houle collabore avec La Presse à un article nommé: Comment trouver un conseiller à 17 ans?
Entre autres, il mentionne l’importance de traiter avec un planificateur financier: « En faisant affaire avec un planificateur financier, tu es sûr d’avoir devant toi quelqu’un qui maîtrise les sept domaines d’intervention en planification financière, donc pas juste l’aspect placement »
Voici le sixième article d’une série publiée dans le but de vous aider à comprendre comment votre conseiller peut vous accompagner tout au long de votre vie dans l’atteinte de vos objectifs personnels et financiers. Dans ce numéro :
Après avoir recueilli l’information utile à l’établissement de votre politique de placement et ainsi à la construction de votre portefeuille, votre conseiller peut se concentrer sur la diminution de votre facture d’impôt. Voici ce dont il en ressort :
Même s’il est parfois difficile de rester à jour sur le plan de la fiscalité en raison des changements potentiel à chaque nouveau budget, les trois D de la fiscalité demeurent la base d’une bonne planification fiscale. Selon vous, quels sont-ils? Est-ce peut-être : décanter, déguster et digérer? Si seulement… En fait, il s’agit plutôt de : déduire, diviser et différer.
Une déduction fiscale est un montant qui permet de réduire le revenu imposable et donc, du même coup, de réduire l’impôt à payer. Entre autres, il est possible de déduire :
Selon la firme comptable Raymond Chabot Grant Thornton (RCGT), le fractionnement du revenu consiste à partager entre les membres d’une même famille le revenu d’un particulier afin de bénéficier des taux d’imposition progressifs et ainsi de réduire la facture d’impôt. Voici quelques exemples de stratégies de fractionnement de revenu :
L’objectif consiste à différer l’impôt sur une longue période de temps. Ainsi, on peut générer des rendements considérablement plus élevés sur le montant d’impôt différé plutôt que de le donner immédiatement au gouvernement et reporter l’impôt. Les stratégies de report d’impôt les plus courantes sont l’utilisation du REER, du REEE, du CELI et du fonds de pension.
Après les trois D, pour réduire votre facture d’impôt, vous devez aussi vous pencher sur l’optimisation fiscale du portefeuille. Cela nécessite quelques simples ajustements, comme de détenir les bons titres dans les bons comptes, mais aussi de tirer profit des occasions de « récolter » des pertes fiscales lorsqu’elles se présentent.
Après avoir déterminé votre situation personnelle, fait votre bilan, établi vos objectifs financiers, dressé votre profil d’investisseur, élaboré votre politique de placement, construit votre portefeuille et réduit votre facture d’impôt, la prochaine étape consiste à faire un suivi régulier, ainsi qu’à rééquilibrer le portefeuille. Ce sera d’ailleurs le sujet du prochain article.
Pour recevoir tous les articles de la série « Les 10 travaux de votre conseiller », communiquez avec nous.
Cet article est le quatrième d’une série publiée dans le but de vous aider à comprendre comment votre conseiller vous accompagne tout au long de votre vie dans l’atteinte de vos objectifs personnels et financiers. Dans ce quatrième numéro :
La politique de placement est le manuel d’instructions pour la gestion de votre portefeuille : quelles classes d’actifs détenir dans quelles proportions et dans quels comptes, comment sélectionner les titres pour chaque classe, quand rééquilibrer le portefeuille, etc.
Chacun de nos modèles de portefeuilles utilisés se situe sur la frontière efficiente. Les objectifs de placements et le profil d’investisseur découlant du processus de planification financière déterminent lequel des modèles de portefeuilles convient le mieux au client.
La répartition d’actif vise à combiner des classes d’actifs de façon à maximiser le rendement pour un niveau de risque donné ou à minimiser le niveau de risque pour un rendement donné. Afin de convenir à un investisseur, une répartition d’actif devra viser un rendement lui permettant d’atteindre ses objectifs financiers tout en respectant sa tolérance au risque.
Le processus de répartition d’actifs implique la sélection de classes d’actifs devant constituer le portefeuille et un processus d’optimisation (« mean-variance optimization ») visant à allouer un pourcentage du portefeuille a chacune des ces classes pour optimiser le rendement anticipé pour un niveau de risque donné. On obtient ainsi une « frontière efficiente » de portefeuilles qui maximisent le rendement pour un niveau de risque.
Nous sélectionnons les classes et sous classes d’actifs pouvant contribuer à la diversification du portefeuille, en tenant compte de leur rendement anticipé, leur risque (variance ou volatilité) ainsi que leur corrélation (covariance). Le processus d’optimisation déterminera leur poids dans le portefeuille en fonction de ces 3 caractéristiques.
Dès qu’un client détient plus d’un type de compte, surtout un compte non-enregistré, l’impact de la fiscalité doit être considéré dans la construction et la gestion du portefeuille. Les titres qui génèrent des gains en capital et, dans une moindre mesure, des dividendes canadiens sont plus efficaces fiscalement que ceux générant des revenus d’intérêts. On peut ainsi classer les titres en ordre d’efficacité fiscale de la façon suivante :
Dans la mesure où tous les comptes d’un client ont le même objectif de placement, nous priorisons les comptes non-enregistrés pour la détention des titres fiscalement efficaces. Le CELI a priorité sur les comptes de retraite (REER et FERR) pour les actions américaines puisqu’elles y jouissent d’une exemption d’impôt de retenue sur les dividendes.
Outre les contributions et retrait d’un compte, les dividendes et les mouvements de marchés causent une déviation des portefeuilles de leur allocation d’actifs cible. Sans rééquilibrage, le portefeuille aura tendance à devenir surpondéré dans la classe d’actifs générant le rendement le plus élevé à long terme – les actions. Ils doivent donc être rééquilibrés périodiquement.
Il existe fondamentalement 3 approches au rééquilibrage : 1) rééquilibrage à intervalles réguliers – mensuels, trimestriels ou annuels – sans égard à la déviation ; 2) rééquilibrage dès qu’un certain seuil de déviation est atteint ; ou 3) rééquilibrage à intervalles réguliers seulement si un certain seuil de déviation est atteint. Les études empiriques démontrent qu’il n’existe pas de méthode ou de fréquence optimale de rééquilibrage. Elles mènent toutes à une répartition d’actifs moyenne, une volatilité et des rendements à long terme similaires avant frais. Les frais sont un facteur qui milite en faveur d’un rééquilibrage moins fréquent, alors que les anticipations des clients imposent une limite à la déviation qui peut être tolérée.
Ayant établis votre situation personnelle, fait votre bilan, déterminer vos objectifs financiers, fait votre profil d’investisseur et élaborer votre politique de placement, la prochaine étape constitue à construire votre portefeuille. C’est le sujet de notre prochain article. Pour recevoir tous les articles de la série « Les 10 travaux de votre conseiller », abonnez-vous à notre infolettre.
Cet article est le quatrième d’une série publiée dans le but de vous aider à comprendre comment votre conseiller vous accompagne tout au long de votre vie dans l’atteinte de vos objectifs personnels et financiers. Dans ce quatrième numéro :
La politique de placement est le manuel d’instructions pour la gestion de votre portefeuille : quelles classes d’actifs détenir dans quelles proportions et dans quels comptes, comment sélectionner les titres pour chaque classe, quand rééquilibrer le portefeuille, etc.
Chacun de nos modèles de portefeuilles utilisés se situe sur la frontière efficiente. Les objectifs de placements et le profil d’investisseur découlant du processus de planification financière déterminent lequel des modèles de portefeuilles convient le mieux au client.
La répartition d’actif vise à combiner des classes d’actifs de façon à maximiser le rendement pour un niveau de risque donné ou à minimiser le niveau de risque pour un rendement donné. Afin de convenir à un investisseur, une répartition d’actif devra viser un rendement lui permettant d’atteindre ses objectifs financiers tout en respectant sa tolérance au risque.
Le processus de répartition d’actifs implique la sélection de classes d’actifs devant constituer le portefeuille et un processus d’optimisation (« mean-variance optimization ») visant à allouer un pourcentage du portefeuille a chacune des ces classes pour optimiser le rendement anticipé pour un niveau de risque donné. On obtient ainsi une « frontière efficiente » de portefeuilles qui maximisent le rendement pour un niveau de risque.
Nous sélectionnons les classes et sous classes d’actifs pouvant contribuer à la diversification du portefeuille, en tenant compte de leur rendement anticipé, leur risque (variance ou volatilité) ainsi que leur corrélation (covariance). Le processus d’optimisation déterminera leur poids dans le portefeuille en fonction de ces 3 caractéristiques.
Dès qu’un client détient plus d’un type de compte, surtout un compte non-enregistré, l’impact de la fiscalité doit être considéré dans la construction et la gestion du portefeuille. Les titres qui génèrent des gains en capital et, dans une moindre mesure, des dividendes canadiens sont plus efficaces fiscalement que ceux générant des revenus d’intérêts. On peut ainsi classer les titres en ordre d’efficacité fiscale de la façon suivante :
Dans la mesure où tous les comptes d’un client ont le même objectif de placement, nous priorisons les comptes non-enregistrés pour la détention des titres fiscalement efficaces. Le CELI a priorité sur les comptes de retraite (REER et FERR) pour les actions américaines puisqu’elles y jouissent d’une exemption d’impôt de retenue sur les dividendes.
Outre les contributions et retrait d’un compte, les dividendes et les mouvements de marchés causent une déviation des portefeuilles de leur allocation d’actifs cible. Sans rééquilibrage, le portefeuille aura tendance à devenir surpondéré dans la classe d’actifs générant le rendement le plus élevé à long terme – les actions. Ils doivent donc être rééquilibrés périodiquement.
Il existe fondamentalement 3 approches au rééquilibrage : 1) rééquilibrage à intervalles réguliers – mensuels, trimestriels ou annuels – sans égard à la déviation ; 2) rééquilibrage dès qu’un certain seuil de déviation est atteint ; ou 3) rééquilibrage à intervalles réguliers seulement si un certain seuil de déviation est atteint. Les études empiriques démontrent qu’il n’existe pas de méthode ou de fréquence optimale de rééquilibrage. Elles mènent toutes à une répartition d’actifs moyenne, une volatilité et des rendements à long terme similaires avant frais. Les frais sont un facteur qui milite en faveur d’un rééquilibrage moins fréquent, alors que les anticipations des clients imposent une limite à la déviation qui peut être tolérée.
Ayant établis votre situation personnelle, fait votre bilan, déterminer vos objectifs financiers, fait votre profil d’investisseur et élaborer votre politique de placement, la prochaine étape constitue à construire votre portefeuille. C’est le sujet de notre prochain article. Pour recevoir tous les articles de la série « Les 10 travaux de votre conseiller », abonnez-vous à notre infolettre.
Cet article est le troisième d’une série publiée dans le but de vous aider à comprendre comment votre conseiller vous accompagne tout au long de votre vie dans l’atteinte de vos objectifs personnels et financiers. Dans ce troisième numéro nous abordons :
Votre attitude face au risque et votre capacité à absorber les fluctuations de marché sans compromettre l’atteinte de vos objectifs financiers est la base de la gestion de votre portefeuille. Bien fait, cet exercice vous évitera de faire des erreurs coûteuses lors des inévitables corrections boursières.
Le profil d’investisseur servira de guide et de structure pour l’établissement de votre politique de placement.
Chacun de nos modèles de portefeuilles se situe sur la frontière efficiente. Les objectifs de placements et le profil d’investisseur découlant du processus de planification financière déterminent lequel des modèles de portefeuilles convient le mieux au client.
Le conseiller a la responsabilité de poser une série de questions afin d’établir votre profil d’investisseur et respecter l’obligation de bien connaître son client.
Le questionnaire utilisé par votre conseiller pour établir le profil d’investisseur inclura des questions posées sous différents angles sur les sujets suivants :
En plus de faciliter l’établissement du profil d’investisseur, le questionnaire permet au conseiller d’en apprendre un peu plus sur son/sa client(e) et ses objectifs. Ceci est important car en planification financière et en gestion de portefeuille nous devons respecter l’obligation de ‘’bien connaitre son client’’. C’est-à-dire qu’il y a un minimum d’information qu’un conseiller doit recueillir avant de faire la première recommandation. Une partie de cette information se trouve dans les réponses au questionnaire du profil d’investisseur. Mieux on connait le/la client(e), meilleures sont les recommandations !
Ayant établis votre situation personnelle, fait votre bilan, déterminer vos objectifs financiers et fait votre profil d’investisseur, la prochaine étape constitue à élaborer votre politique de placement. C’est le sujet de notre prochain article.
Pour recevoir tous les articles de la série « Les 10 travaux de votre conseiller financier », abonnez-vous à notre infolettre.
Cet article est le troisième d’une série d’une série publiée dans le but de vous aider à comprendre comment votre conseiller vous accompagne tout au long de votre vie dans l’atteinte de vos objectifs personnels et financiers. Dans ce troisième numéro nous abordons :
Votre attitude face au risque et votre capacité à absorber les fluctuations de marché sans compromettre l’atteinte de vos objectifs financiers est la base de la gestion de votre portefeuille. Bien fait, cet exercice vous évitera de faire des erreurs coûteuses lors des inévitables corrections boursières.
Le profil d’investisseur servira de guide et de structure pour l’établissement de votre politique de placement.
Chacun de nos modèles de portefeuilles se situe sur la frontière efficiente. Les objectifs de placements et le profil d’investisseur découlant du processus de planification financière déterminent lequel des modèles de portefeuilles convient le mieux au client.
Le conseiller a la responsabilité de poser une série de questions afin d’établir votre profil d’investisseur et respecter l’obligation de bien connaître son client.
Le questionnaire utilisé par votre conseiller pour établir le profil d’investisseur inclura des questions posées sous différents angles sur les sujets suivants :
En plus de faciliter l’établissement du profil d’investisseur, le questionnaire permet au conseiller d’en apprendre un peu plus sur son/sa client(e) et ses objectifs. Ceci est important car en planification financière et en gestion de portefeuille nous devons respecter l’obligation de ‘’bien connaitre son client’’.
C’est-à-dire qu’il y a un minimum d’information qu’un conseiller doit recueillir avant de faire la première recommandation. Une partie de cette information se trouve dans les réponses au questionnaire du profil d’investisseur. Mieux on connait le/la client(e), meilleures sont les recommandations !
Ayant établis votre situation personnelle, fait votre bilan, déterminer vos objectifs financiers et fait votre profil d’investisseur, la prochaine étape constitue à élaborer votre politique de placement. C’est le sujet de notre prochain article.
Pour recevoir tous les articles de la série « Les 10 travaux de votre conseiller », abonnez-vous à notre infolettre.